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beHind Brown Eyes_

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26 janvier 2010

Je suis la pire des connasses

La camisole intérieure : l'envie d'hurler et le besoin de se taire.

 

 

sherman6bis

 

Bien sur j'ai peur du vide
D'être seule
Dans les moments rudes
Sans personne
Qui m'aime
Je t'aime encore parfois
Mais j'ai plus l'coeur à ça

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1 octobre 2009

Funambule

     Lorsqu'on aime une personne, on voudrait avoir de l'importance, une place unique, être indispensable. J'ai besoin de ça pour exister. J'ai peur, peur finalement d'assister à ta résurrection, et de n'y être pour rien. Peur de te voir sans moi.. comme si sur ce chemin qu'est le notre, tu me priais de rester sur le trottoir pendant que toi, tu avançes au milieu de la route, sur la bande blanche.

Je suis spectatrice... D'une omission. J'ai peur, comme tout m'effraie. J'aurai besoin de hurler, pour essayer de faire sortir cette chose en moi. Quelle est ma place, et quelle sera-t-elle lorsque tout changera? Comment définir ce que je ressens. Je vais essayer.. C'est un peu comme si j'avais tissé une toile, non mieux! Un filet, un filet de secours! Je l'ai construit dur et solide, résistant face au poids prévu, étendue sous sa vie. Et là, c'est comme s'il commençait à s'effilocher, non prévu à cet effet.

Tu seras belle et rayonnante. Même loin de mes yeux. Et je ne vivrai que pour les instants passés avec toi. Je serai là, dans les coulisses de ta vie, là pour Toi, toujours. Je t'aime tu sais.

27 septembre 2009

I'm ready to go

 

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21 juillet 2009

Je te raconterai l'histoire de ce roi Mort de n'avoir pas pu te rencontrer

C'est sur ces mots et sur ces notes au piano que je me replonge dans l'écriture.

Regarder en arrière me fiche un sacré vertige, mon corps tremblant ne se porte plus. Penser à travers elle, penser ma vie avec elle, et la voir si belle. J'me suis jamais trouver forte, j'ai conscience que je ne suis qu'un bout de chair, de sang et d'os. Capable d'être balayé d'un cou de vent, et la plus grande faiblesse de l'humanité, ce n'est pas l'impuissance corporelle, c'est l'intérieur. Je suis kamikaze, je sais très bien qu'on s'en sort jamais indemne, si jamais on s'en sort... Mais je continue à foncer dans le mur. C'est ça, la passion.

 

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Nous sommes fous, nous, qui croyons en l'Amour.

16 avril 2009

Flamme et vague à l'âme

Je me suis levée ce matin, et comme tu l'as justement pensé, tout m'est retombé dessus. Une avalanche de mots, de désespoir... C'est une journée pesante, a quoi aurait-il put servir que je reste assise sur une chaise la tête emplie de remords. Je reste chez moi, les yeux vides, la bouche détendue, la gorge nouée et le cœur serré. Espérant chaque seconde un message, un peu de chaleur inexistante par texto. Rien ne me réchauffe, je reste glacée.

 

Jusqu'au moment où les mots attendus arrivent... de quoi me rassurer le temps d'un instant.

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15 janvier 2009

Gérer mes silences, taire mes angoisses, tu m'as

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Gérer mes silences, taire mes angoisses, tu m'as forgée à coup de tes blessures. Comment éviter de ressasser le passé alors que j'ai une vision si étendue maintenant. Mon écoute m'a coutée cher, je n'ai rien laissé paraitre. Je cherche encore la raison de mon erreur, je la trouve bien sur, peut-être un cri longtemps étouffer, je voulais t'entendre souffrir. C'est bien trop cruel de ma part, pourtant ça y ressemble tellement. Je m'en mords les doigts, moi qui ne supporte pas de te voir si mal, pourtant, je t'ai connu dans la souffrance même de l'amour. Une souffrance qui n'a jamais été liée à moi. Je me trouve même si ridicule, de parler de souffrance en désignant mes déceptions personnelles, mes propres illusions amoureuses, l'amour qu'on m'a renvoyée en pleine figure. Je les ais passée sous clé. Pour Toi, pour moi-même. J'ai reçu de plein fouet la description de ta chute. T'admirant de me laisser entrer dans ta vie sentimentale, me protégeant du possible rejet. J'ai la nette impression que je cherche à marquer les esprits, et que toi, tu est marquée si profondément, comme je ne le ferai probablement jamais... Cette impression d'infériorité me poursuis, elle vient parfois doucement m'étrangler en pleine nuit. J'ai compris qu'il fallait lâcher les armes et fermer les yeux. J'aime écrire, ce que moi seule au final comprendra vraiment, j'aime poser cette boule au fond de ma gorge, ces larmes qui ne viennent pas, et la déception de moi-même.
Mon Amour est si parfaite. Je partage les hantises de son passé. Son histoire fait partie de moi. Je garde encore cet espoir que nos beaux jours effacent l'amertume qui revient parfois.




J'aime regarder devant nous.

9 janvier 2009

Je comprends que tu ne me donneras jamais autant

Je comprends que tu ne me donneras jamais autant qu'à elle, puisque tu as tout perdu. Seulement, sache que je reçois bien plus qu'elle ne recevra jamais.

15 décembre 2008

Sans contrefaçon, Je suis un garçon.

J'entends tes paroles, qui se muent en un cri unique et strident, son écho résonne au fond de moi, bien trop profondément, enfoui et recouvert par un amas de sentiments, de ressentiments qui finissent par l'étouffer. Je me sens honteuse. Je ne peux que te laisser crever, la bouche ouverte. Sourde à ta détresse, je ne vois que mon bonheur. Tu sais si ça peut te rassurer, je ne suis plus la petite Pauline, dis-toi simplement que ta Pauline n'existe plus. Tu ne me retrouvera jamais, moi non plus d'ailleurs, je ne saurais me retrouver. Sache juste que les soirs où tu cris plus fort, je t'entends, et que je donnerais tout pour que tu m'oublie. Préfères avoir honte de moi. Même si la honte n'a jamais su t'arrêter.

"A ma souffrance s'ajoutais la honte de ma souffrance. Pour m'interdire une telle douleur, je m'arrachai le coeur. L'opération fut facile mais peu efficace." Journal d'Hirondelle A.N

12 décembre 2008

J'suis nulle pour exprimer les bons sentiments.

J'suis nulle pour exprimer les bons sentiments. J'écris toujours avec rage ou tristesse. J'pourrai bien te décrire le monde des bisounours sinon. Oui, tu veux ?
Alors c'est d'accord. Nous sommes en ce moment même posées sur un banc en nougatine. Tu es vêtue d'un ... Non tu es toute nue ! Moi ... Peu importe. Héhé. Devant nous une immensité indescriptible. S'il fallait plaquer des mots sur l'image je dirai que nous voyons des nuages roses et bleus figés sur un voile violet d'une consistance inconnue. Sur ces nuages, des drôles de petits bonhommes qui nous regardent en souriant. Ils sont en train de jouer au golf avec des flamants roses. De temps en temps passe un éléphant vert et un colibri de soixante kilos. D'ailleurs maintenant que j'y pense, notre banc vogue étrangement dans les airs. Diantre que c'est émoustillant. Derrière nous ... On sen fout, on voit pas. Le plus marrant c'est que nos sentiments sont retranscrits dans deux bulles respectives au dessus de nos têtes. Secret défense quant au contenu.
J'dois dire que t'es encore plus belle que dans la vie normale actuelle du présent de tout les jours. On dirait que ta petite frimousse toute chou est en barbapapa ! Du coup j'ai décidé de te manger. Fin.

 

By : La fille qui se glisse dans ton lit :).

15 octobre 2008

Elle

Tu n'as personne à battre ni même à égaler, c'est moi et moi seule qui dépasse mes limites.

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